Assurer la sécurité des infrastructures

En Amérique du Nord, les infrastructures publiques sont en péril. En effet, près de la moitié des ponts, barrages et autres infrastructures essentielles à notre vie quotidienne a atteint sa durée de vie utile. De plus, les phénomènes météorologiques extrêmes causés par les changements climatiques exercent une pression supplémentaire sur celles-ci.  

Bien entendu, ces infrastructures sont souvent soumises à des inspections de sécurité. Habituellement, une personne escalade la structure puis se charge de l’évaluer, notamment en la frappant à l’aide d’un marteau afin de déceler la moindre faiblesse qu’il pourrait y avoir dans le béton. Cependant, Harsh Rathod prône une approche bien différente.

Son entreprise, Niricson, réalise des essais de résistance au choc à l’aide de drones. Ils sont dotés d’un mécanisme de frappe breveté. Cette méthode améliore également la surveillance grâce à des composants visuels, acoustiques et infrarouges. Les données sont ensuite téléchargées sur la plateforme de Niricson qui utilise l’intelligence artificielle et des techniques liées à la fusion de données pour cartographier et quantifier automatiquement les dégradations présentes dans une structure en béton.

Harsh Rathod a eu cette idée en 2015, alors qu’il venait de quitter l’Inde pour effectuer un doctorat en génie civil à l’Université de Victoria au sein même de l’Installation de contrôle d’infrastructures et de matériaux innovants.  Niricson a maintenant atteint de nombreux jalons, tels que l'inclusion dans le top 25 meilleurs employeurs dans la catégorie des entreprises en démarrage au Canada en 2024 par Forbes, et la collaboration avec plus de 35 clients tels que BC Hydro, Transports Canada et le Canadien National, et l’aéroport international Lester B. Pearson de Toronto. Et il ne s’agit là que d’une partie de sa clientèle, établie tant au Canada qu’à l’étranger!

« Je suis venu au Canada parce que je savais que les activités de recherche menées ici étaient reconnues sur la scène internationale », précise-t-il, en ajoutant que l'accès à un équipement de pointe dans le laboratoire financé par la FCI a été crucial pour repousser les limites de la technologie des drones et transformer son idée en une application.

En Amérique du Nord, les infrastructures publiques sont en péril. En effet, près de la moitié des ponts, barrages et autres infrastructures essentielles à notre vie quotidienne a atteint sa durée de vie utile. De plus, les phénomènes météorologiques extrêmes causés par les changements climatiques exercent une pression supplémentaire sur celles-ci.  

Bien entendu, ces infrastructures sont souvent soumises à des inspections de sécurité. Habituellement, une personne escalade la structure puis se charge de l’évaluer, notamment en la frappant à l’aide d’un marteau afin de déceler la moindre faiblesse qu’il pourrait y avoir dans le béton. Cependant, Harsh Rathod prône une approche bien différente.

Son entreprise, Niricson, réalise des essais de résistance au choc à l’aide de drones. Ils sont dotés d’un mécanisme de frappe breveté. Cette méthode améliore également la surveillance grâce à des composants visuels, acoustiques et infrarouges. Les données sont ensuite téléchargées sur la plateforme de Niricson qui utilise l’intelligence artificielle et des techniques liées à la fusion de données pour cartographier et quantifier automatiquement les dégradations présentes dans une structure en béton.

Harsh Rathod a eu cette idée en 2015, alors qu’il venait de quitter l’Inde pour effectuer un doctorat en génie civil à l’Université de Victoria au sein même de l’Installation de contrôle d’infrastructures et de matériaux innovants.  Niricson a maintenant atteint de nombreux jalons, tels que l'inclusion dans le top 25 meilleurs employeurs dans la catégorie des entreprises en démarrage au Canada en 2024 par Forbes, et la collaboration avec plus de 35 clients tels que BC Hydro, Transports Canada et le Canadien National, et l’aéroport international Lester B. Pearson de Toronto. Et il ne s’agit là que d’une partie de sa clientèle, établie tant au Canada qu’à l’étranger!

« Je suis venu au Canada parce que je savais que les activités de recherche menées ici étaient reconnues sur la scène internationale », précise-t-il, en ajoutant que l'accès à un équipement de pointe dans le laboratoire financé par la FCI a été crucial pour repousser les limites de la technologie des drones et transformer son idée en une application.