Réinventer les éléments constitutifs de la matière plastique
L’Organisation des Nations unies estime que 400 millions de tonnes de déchets plastiques sont produites à l’échelle mondiale chaque année, dont moins de 10 % sont recyclées.
De nombreuses entreprises se tournent vers les biomatériaux qui se décomposent lorsqu’ils sont correctement éliminés. Cependant, pour constituer une véritable solution de rechange au plastique, les biomatériaux doivent pouvoir s’y substituer avantageusement.
Kritika Tyagi, cofondatrice de l’entreprise de biomatériaux erthosᴹᴰ, le sait bien. Elle a rencontré sa cofondatrice, Nuha Siddiqui, pendant ses études à l’Université de Toronto à la fin des années 2010.
Lorsqu’elles ont décidé de remplacer les billes de calage à base de pétrole par un produit fabriqué à partir de sous-produits de pommes de terre, elles ont réservé du temps au Centre d’innovation pour la fabrication industrielle Lambton (LMIC), financé par la FCI, pour tester leur formule avec l'équipement de fabrication de plastique du laboratoire afin de voir s'il était possible de créer un matériau équivalent. Ce fut un succès.
Maintenant, erthosᴹᴰ aide sa clientèle à abandonner le plastique sans avoir à réoutiller leurs usines, en travaillant sur des produits tels que des récipients pour cosmétiques, des bouchons pour les fûts de Budweiser et bien d'autres encore.
D’ailleurs, erthosᴹᴰ a récemment annoncé avoir breveté la plateforme d’intelligence artificielle qui se nomme ZYA pour générer des formules que son équipe de recherche et développement affine, valide et met à l’échelle en fonction des besoins des clientes et clients. Cette plateforme offre la possibilité de réduire les coûts jusqu'à 92 % et le temps nécessaire pour trouver le matériau qui convient de plusieurs mois.
Kritika Tyagi affirme que l’équipe diversifiée qui œuvre chez erthosᴹᴰ et le riche milieu de la recherche du Canada ont contribué à concrétiser les innovations de l’entreprise, avec des jalons tels que 15 brevets déposés et 15,2 millions de dollars en financement.
« La diversité chez erthosᴹᴰ nous permet d’apporter un point de vue plus intersectionnel à nos activités de recherche et aux produits que nous fabriquons, affirme-t-elle. Du point de vue de l'infrastructure, du financement et du vivier de talents, le Canada offre tellement de possibilités.»
L’Organisation des Nations unies estime que 400 millions de tonnes de déchets plastiques sont produites à l’échelle mondiale chaque année, dont moins de 10 % sont recyclées.
De nombreuses entreprises se tournent vers les biomatériaux qui se décomposent lorsqu’ils sont correctement éliminés. Cependant, pour constituer une véritable solution de rechange au plastique, les biomatériaux doivent pouvoir s’y substituer avantageusement.
Kritika Tyagi, cofondatrice de l’entreprise de biomatériaux erthosᴹᴰ, le sait bien. Elle a rencontré sa cofondatrice, Nuha Siddiqui, pendant ses études à l’Université de Toronto à la fin des années 2010.
Lorsqu’elles ont décidé de remplacer les billes de calage à base de pétrole par un produit fabriqué à partir de sous-produits de pommes de terre, elles ont réservé du temps au Centre d’innovation pour la fabrication industrielle Lambton (LMIC), financé par la FCI, pour tester leur formule avec l'équipement de fabrication de plastique du laboratoire afin de voir s'il était possible de créer un matériau équivalent. Ce fut un succès.
Maintenant, erthosᴹᴰ aide sa clientèle à abandonner le plastique sans avoir à réoutiller leurs usines, en travaillant sur des produits tels que des récipients pour cosmétiques, des bouchons pour les fûts de Budweiser et bien d'autres encore.
D’ailleurs, erthosᴹᴰ a récemment annoncé avoir breveté la plateforme d’intelligence artificielle qui se nomme ZYA pour générer des formules que son équipe de recherche et développement affine, valide et met à l’échelle en fonction des besoins des clientes et clients. Cette plateforme offre la possibilité de réduire les coûts jusqu'à 92 % et le temps nécessaire pour trouver le matériau qui convient de plusieurs mois.
Kritika Tyagi affirme que l’équipe diversifiée qui œuvre chez erthosᴹᴰ et le riche milieu de la recherche du Canada ont contribué à concrétiser les innovations de l’entreprise, avec des jalons tels que 15 brevets déposés et 15,2 millions de dollars en financement.
« La diversité chez erthosᴹᴰ nous permet d’apporter un point de vue plus intersectionnel à nos activités de recherche et aux produits que nous fabriquons, affirme-t-elle. Du point de vue de l'infrastructure, du financement et du vivier de talents, le Canada offre tellement de possibilités. »