Annly Jemima Gohourou
École secondaire Hormisdas-Gamelin  

Les sports d’équipe: une grande famille

J’ai eu l’opportunité d’avoir une entrevue avec Gabriel Cormier, entrepreneur général dans la vie, mais aussi entraîneur de l’équipe masculine de volleyball à notre école depuis trois ans.  

Il a pratiqué le volleyball plus au secondaire et au collégial dans les ligues amateurs universitaires et voici ce qui l’a le plus marqué de ce sport : «Ce qui m’est resté du volleyball, c’est la fraternité dans la compétition qui est saine dans le sens où il y a une certaine adversité dans le plaisir. En fait, c’est comme une grande famille».

L’amitié et la fraternité

Trop souvent, quand on pense aux sports collectifs, on a cette image du coach qui crie sur ses joueurs ou encore du gars avec des propos sexistes. Mais loin de là, être membre d’une équipe, c’est faire partie d’une famille. 

À travers le sport, on découvre des compagnons qui peuvent nous soutenir. Derrière l’activité sportive, se créer une communauté, des amitiés, mais aussi de la fraternité qui se forge au fil des matchs. 

Comprendre de l’échec

La compétitivité saine, c’est un pilier fondamental d’une bonne équipe. Quand l’équipe devient un lieu de rivalité, elle finit par être, même pour le meilleur des joueurs, un cadre malsain. C’est pourquoi il est essentiel qu’un échec dans une équipe soit une occasion d’échange, où l’équipe devient plus soudée et où les membres apprennent à s’ajuster l’un l’autre.

Pour finir, une bonne équipe, c’est une grande famille. Une équipe qui donne envie de se battre et de relever des défis. Alors, la prochaine fois que tu te retrouveras devant un entraîneur qui crie sur ses joueurs, essaie de penser à ce qui a le plus marqué Gabriel Cormier.